dimanche 15 novembre 2015

Résistance intérieure

Bonjour,
Non!
Voilà le mot en réaction à ces attentats issuent de la part d’horreur dont l’humain peut être capable, parfois.
Non, tout d’abord de la terrible émotion qui surgit en apprenant ces actes odieux.
Non ensuite face aux délires fascisants des extrémistes de tout bord.
Non pour finir, pour dire que nous ne sommes pas en guerre. Non, ce n’est pas une guerre! C’est un crime agi par des criminels au service d’une association de malfaiteurs se servant d’une idéologie de l’absolu de la mort.
Ce sont des voyous, des mafieux, des criminels, des délinquants… Ce n’est pas une armée d’une nation, d’un pays, d’une culture, d’une civilisation. C’est toute la barbarie de l’extrême, de la pulsion de mort qui s’agite pour que nos libertés, notre démocratie, nos paix, notre république, s’évaporent dans la peur, l’effroi, le besoin de sécurité aussi extrême que la terreur qu’ils veulent instiller.
« Ne finissons pas le travail » vient de dire le fils de Gluskmann. Ne leur donnons pas raison!
Nous ne sommes pas dans une guerre, mais dans un traitement du mal.
J’espère que l’humanité saura connaître le chemin de la vie, de la civilisation, de la culture, de l’art et de la liberté.

Cordialement,

Thierry GALEAU

mercredi 21 octobre 2015

Citation de S. Freud, La peur du noir...

" - Les enfants eux-mêmes se comportent très tôt comme si leur attachement à la personne qui les soigne était de la nature de l'amour sexuel.
L'angoisse des enfants n'est rien d'autre à l'origine que l'expression du fait que la personne aimée leur manque; de ce fait, ils abordent chaque étranger avec angoisse; ils ont peur dans l'obscurité, par qu'on n'y voit pas la personne aimée, et s'apaisent s'ils peuvent lui tenir la main dans le noir.

dimanche 18 octobre 2015

Citation

Si vous comprenez, tant mieux, gardez-le pour vous, l’important n’est pas de comprendre, c’est d’atteindre le vrai.
J. Lacan, Les psychoses (1955-1956), Paris, Le Seuil, 1981, p. 59.

dimanche 11 octobre 2015